Le
surpoids correspond à une augmentation de la masse grasse pouvant
aboutir à une obésité. On utilise comme référence le rapport poids (kg)
sur la taille (m) au carré ou Indice de Masse Corporelle. On parle de
surpoids, lorsque cette valeur est comprise entre 25 et 30. Au-delà de
30, on parle d'obésité.
Par exemple une femme de 1 m 65 sera considérée en surpoids au
delà de 68 kg (69 / 1,652 > 25). Au-delà de l'esthétique, le
surpoids a des conséquences à long terme sur la santé et augmente le
risque de certaines maladies comme le diabète et les maladies
cardiovasculaires. Les causes du surpoids sont multiples mais la
principale raison reste souvent un déséquilibre entre les apports et
les dépenses énergétiques.
Maigrir
est en théorie très simple, il suffirait de manger moins et de bouger
plus. La pratique est toutefois plus complexe ! Cependant la femme en
surpoids n'a pas de besoins nutritionnels spécifiques par rapport à une
autre femme. Elle devra simplement, lorsqu'elle réduit ses apports
caloriques pour mincir, veiller à maintenir des apports équilibrés en
macronutriments (glucides, protéines, lipides) et suffisants en
micronutriments (vitamines et minéraux).
Trois alliés sont à privilégier dans ce domaine : les protéines, les fibres et les glucides complexes.
Les protéines (viandes, œufs, poissons mais
aussi les produits laitiers, les produits céréaliers et les légumes
secs), car elles ont un bon pouvoir satiétogène et aident donc à ne pas
craquer entre les repas. De plus, les protéines sont importantes pour
la préservation de la masse maigre (les muscles).
Les fibres présentes dans les légumes et les
fruits, les produits céréaliers complets et les légumes secs car elles
offrent la sensation de remplir l'estomac et retardent le retour de la
sensation de faim. De plus, les fibres présentent l’avantage de ne pas
apporter de calories ; il serait donc dommage de s’en priver !
Et les glucides complexes, que l’on
retrouve dans les féculents (aliments céréaliers, légumes secs, pommes
de terre), car ils constituent une excellente source d’énergie pour
notre organisme. Ceux qui ont un index glycémique bas (pâtes, légumes
secs, certains biscuits de petit déjeuner…) libèrent leur énergie de
façon progressive, et peuvent donc vous aider, comme les protéines et
les fibres, à résister au grignotage.
Enfin le dernier allié est l'exercice physique : les études
montrent qu'aujourd'hui la population française mange moins, et
pourtant elle grossit parce que notre mode de vie est de plus en plus
sédentaire. L'activité physique (il n'est pas nécessaire de faire du
sport de haut niveau pour se dépenser) aide la prise de muscle et la
perte de poids sur le long terme, même si les résultats ne sont pas
spectaculaires immédiatement après l'effort.
Essayer donc d’atteindre au moins l’équivalent de 30 minutes de marche rapide chaque jour !
Au-delà
de la perte de quelques kilos pris ponctuellement, il est en pratique
parfois difficile de perdre durablement du poids, car cela implique des
efforts sur plusieurs mois voire plusieurs années.
Il est essentiel d’être à l’écoute de son corps et d’apprendre
comment manger moins sans être constamment affamé pour tenir son poids
de forme sur le long terme. Savourer, prendre son temps, permet de
retrouver les sensations de faim et de rassasiement. L’attention portée
à l’alimentation n’est plus une parenthèse imposée mais une nouvelle
façon de manger qui réussit.
Tous les régimes extrémistes ou monotones, même s'ils peuvent
être efficaces à court terme, ne pourront pas être tenus sur le long
terme sans risque de déficiences. Ceux qui sont trop restrictifs
peuvent dérégler les mécanismes de contrôle de poids. Trop privé, puis
suralimenté lors de « craquages » anarchiques, l’organisme se met à
stocker plus. C’est le fameux effet « yo-yo » qui se traduit par 3 kg
de perdus, 4 de retrouvés. Le véritable challenge n’est donc pas de
perdre vite mais de perdre tranquillement et de se stabiliser pour de
bon.
L’essentiel étant de rester en bonne forme, d’humeur rose, de
continuer à partager les plaisirs de la table et de la convivialité en
gardant une alimentation en phase avec ses goûts et son mode de vie.
Et, dans tout les cas, il est déconseillé de descendre en dessous de
1200 kcal par jour. Par ailleurs, avant d’adopter un régime
hypocalorique, il est recommandé d’en parler à un professionnel de
santé (médecin traitant, nutritionniste…)
Le secret : il faut donc privilégier une alimentation
diversifiée, équilibrée, à apports énergétiques réduits et opter pour
un suivi médical afin de s’assurer de la réussite tant physique que
psychologique du régime hypocalorique.
Les apports nutritionnels conseillés
<!--VOIR BODY = ID HAUT-->
Les
apports nutritionnels conseillés en vitamines et minéraux ne sont pas
différents de ceux d'une femme adulte. En revanche les apports en
énergie devront être diminués de façon variable selon les personnes en
tenant compte de la consommation calorique avant le régime, des
habitudes alimentaires, du niveau d'activité physique.
La
femme souhaitant avoir un enfant n’a pas de besoin particulier mais
elle doit se préparer à la grossesse ; cette période étant exigeante du
point de vue nutritionnel. Certains nutriments sont particulièrement
importants au moment de la conception : certaines vitamines du groupe B
(B6, B9, B12) et le fer.
Une
alimentation équilibrée et variée est donc particulièrement importante
chez une femme qui souhaite un enfant. Privilégier les aliments à haute
densité nutritionnelle, c'est-à-dire riches en vitamines, minéraux et
autres nutriments essentiels, permet de limiter les risques de
déficiences tout en limitant les apports caloriques.
Trois vitamines du groupe B sont à privilégier :
- La vitamine B9,
ou acide folique, intervient dans la multiplication cellulaire. Chez le
fœtus, elle permet la fermeture du tube neural. Une déficience en
vitamine B9 chez la femme qui souhaite un enfant peut entraîner un
faible poids de naissance, et surtout être à l'origine d'une
malformation grave du fœtus (la spina bifida). Des réserves suffisantes
de vitamine B9 sont importantes avant et en tout début de grossesse.
- La vitamine B6 participe à la fabrication
des cellules sanguines et prépare ainsi le bon développement du fœtus.
Une déficience est possible en cas de contraceptifs oraux.
- La vitamine B12, vitamine anti-anémique, est indispensable à la formation des globules rouges du sang.
- Enfin les femmes qui ont un désir d'enfant ont intérêt à aborder la grossesse avec de bonnes réserves de fer, car les besoins seront accrus à cause du développement du fœtus, du placenta et de l'augmentation du volume sanguin
La femme qui souhaite avoir un enfant privilégiera les aliments les plus riches en nutriments essentiels
(les aliments dits "de bonne densité nutritionnelle" c’est à dire les
aliments qui apportent le plus de vitamines et minéraux pour un apport
énergétique donné).
Elle devra envisager avec son médecin la nécessité d'une supplémentation en vitamine B9 et tâchera de consommer des aliments qui en apportent beaucoup comme les légumes verts à feuilles.
Vis à vis du fer, elle veillera à consommer
de la viande rouge et à introduire régulièrement dans son alimentation
d’autres sources privilégiées comme le boudin noir, les biscottes
complètes, le germe de blé, le cacao en poudre, le sésame, les
bigorneaux, les moules, les huîtres… Ex : environ 80 g de boudin noir
suffisent à couvrir ses besoins journaliers.
La vitamine B12 est présente uniquement dans les produits d'origine animale (viande, poisson, fromage) et particulièrement dans le foie.
Quant à la vitamine B6, on la trouve dans le foie, les viandes, poissons, haricots, lentilles, bananes…
Les apports nutritionnels conseillés
<!--VOIR BODY = ID HAUT-->
Les besoins énergétiques sont identiques à ceux de la femme adulte : 2000 à 2200 kcal / j.
La
femme sportive pratique une activité de façon régulière : natation,
footing, activités dans un club de gymnastique, tennis… à raison d’au
minimum 3 à 4 heures par semaine.
Les besoins sont bien évidemment supérieurs à ceux d'une femme
sédentaire, mais varient également en fonction de l'activité elle-même,
de sa fréquence, de son intensité.
Une
alimentation équilibrée et suffisante, bien répartie sur la journée
afin d'éviter les baisses de tonus au cours de l'effort permettra à la
femme sportive de satisfaire ses besoins énergétiques. Elle veillera
également à ses apports en glucides, en protéines et en calcium sans
oublier de boire beaucoup d'eau.
Les glucides,
premier carburant de l’organisme, doivent occuper une place
prépondérante dans l'alimentation (50 à 55% de l'apport énergétique
total). C'est d'autant plus vrai chez la femme sportive qui aura besoin
de consommer des glucides complexes, notamment ceux qui sont digérés
lentement (pâtes, légumes secs, certains biscuits céréaliers …)
quelques heures avant une activité physique et des glucides simples
assimilés "rapidement" ( miel, biscuits confiturés… ) au cours de
l'effort.
Une femme pratiquant une activité physique ou sportive
régulière, d'intensité modérée (3 fois par semaine 1/2 heure à 1 heure)
n'a pas besoin d'augmenter ses apports en protéines mais doit veiller à
bien couvrir ses besoins en consommant chaque jour une à deux portions
de viande, poisson ou œufs.
Le calcium est un minéral à ne pas négliger car
il intervient dans la minéralisation osseuse. Le sport est connu pour
augmenter la densité osseuse. Cependant, cet effet dépend fortement de
l’apport calcique ; c’est pourquoi il est particulièrement important de
veiller à consommer suffisamment de calcium. Par ailleurs, si le sport
à un effet positif, la pratique d’un entraînement intensif sur un
organisme mal préparé peut conduire à une déminéralisation du tissu
osseux.
Le magnésium est également un minéral d’une
grande importance pour les femmes sportives. En effet, il est notamment
essentiel au bon fonctionnement neuromusculaire. Pourtant 23% des
femmes ont des apports inférieurs au 2/3 des ANC*. Il est donc
important de surveiller la consommation d’aliments qui apportent du
magnésium comme les graines oléagineuses, les fruits séchés, le cacao,
les légumes secs…
* Source : étude SU.VI.MAX
Boire suffisamment et régulièrement est capital pour le
sportif, notamment après l'effort pour compenser les pertes par la
sueur.
La
femme sportive doit consommer une à deux portions de viande, de poisson
ou d’œufs (1 portion = 2 œufs) par jour, selon l'intensité de son
activité. Au moins 3 produits laitiers par jour serviront à compléter
les besoins en protéines et à couvrir les besoins en calcium. Les
produits céréaliers (pains, pâtes, riz, biscuits …) et autres féculents
(légumes secs, p.de terre) sont à privilégier à chaque repas et lors
des collations. Le miel, les biscuits confiturés, les fruits secs par
exemple apportent de l'énergie rapidement disponible au cours de
l'effort.
En cas d'effort supérieur à 1 heure, il est recommandé de boire
une " boisson de l'effort " que vous pouvez acheter toute prête ou
préparer vous-même en ajoutant 50 g de sucre , 1 ou 2 jus de citron et
1 petite pincée de sel à 1 litre d'eau plate ou gazeuse richement
minéralisée.
Après un exercice physique long, il est nécessaire de boire une
eau fortement minéralisée et contenant des sucres en solution. Une
heure après l’exercice, des apports en glucides et en protéines sous
forme solide peuvent être ajoutés, afin de refaire le plein d'énergie.
Au 20e siècle, les progrès technologiques et les évolution des mentalités ont été spectaculaires. Pourtant, alors que certaines femmes jonglent aisément avec tous les outils de la vie moderne, d'autres sont encore incapables de changer l'heure de leur magnétoscope ou de parler sexualité avec leurs enfants. Et vous, pensez-vous être une femme moderne ? Doctissimo a concocté ce petit test pour vous aider à faire le point...
Question 1 : L'informatique :
Pour vous, ordinateur rime avec horreur.
Vous vous y êtes mise avec réticence, mais finalement vous vous débrouillez tout à fait honorablement.
Vous vous y êtes mise très tôt, vous aviez bien senti que c'était l'avenir !
Question 2 : Les courses par Internet :
Vous avez été une adepte des premières heures, et depuis vous n'avez plus jamais mis les pieds dans un supermarché.
Pas question ! Rien ne vaut le contact avec les petits commerçants de quartier.
Vous
y avez recours de temps en temps pour les packs d'eau et les barils de
lessive, mais vous hésitez à commander des produits frais.
Question 3 : Les préservatifs et la pilule :
C'est un sujet tabou, vous n'en parlez pas avec vos enfants.
Vous
ne savez pas comment aborder la question, alors vous attendez que ce
soient eux qui vous en parlent ou qu'un moment propice se présente.
Vous en avez parlé très tôt à vos enfants (ou vous allez le faire).
Question 4 : Vous devez faire parvenir un document à un client :
Vous le faxez.
Vous l'envoyez par e-mail.
Vous l'envoyez par la poste
Question 5 : Votre magnétoscope :
Vous en connaissez tous les secrets et l'utilisez régulièrement.
Vous laissez à votre mari et à vos enfants le soin de s'en occuper : ils font cela si bien !
Vous savez régler l'heure et lire une cassette, mais qu'on ne vous demande pas de le programmer !
Question 6 : En ville, vous vous déplacez en :
Métro ou Bus
Trottinette ou Roller
Bicyclette ou Solex
Question 7 : Vous auriez aimé :
Etre une pionnière au temps du far-west américain.
Vivre aujourd'hui, mais en étant un peu plus débrouillarde avec les nouvelles technonologies.
Naître quelques siècles plus tard pour connaître les voyages spatiaux.
Commentaires
1. djoulaille le 20-02-2009 à 23:29:10 (site)
Une fan de Sex and the city???
J'ADORE!!!
Alors la bienvenue et j'espère que l'on se croisera à nouveau!!!
Bisous!